Les zones de subduction produisent les séismes les plus forts et les plus destructeurs jamais enregistrés sur Terre. Plusieurs chercheurs internationnaux1, dont certains des laboratoires Geoazur (CNRS / IRD / OCA / Université Nice Sophia Antipolis) et ISTerre (CNRS / Université Savoie Mont Blanc / IRD / IFSTTAR / Université Grenoble Alpes) se sont regroupés pour déterminer la localisation et l’extension des zones de ruptures sismiques des prochains grands séismes, qui demeure l'un des défis majeurs à relever en Sciences de la Terre, avec un enjeu sociétal pour les nombreuses populations vivant le long des côtes.
Nicholas Stewart, doctorant à Géoazur, récompensé par un award lors de l’American Geophysical Union (AGU) 2016 : le plus grand rassemblement des spécialistes mondiaux en géophysique !
Chaque année, à l’occasion de l'AGU qui rassemble près de 25 000 participants, 3 à 5 % des meilleures présentations d’étudiants se voient récompensées par un Outstanding Student Paper Awards (OSPA).
Dans le cadre du projet européen ASTRATE (Assessment, STrategy And Risk Reduction for Tsunamis in Europe), le CNRS présente un film de prévention du risque tsunami à Nice "Un Tsunami à Nice, vraiment ?" avec la participation de Damienne Provitolo et Christophe Larroque.
Réalisation Gabriel Haurillon et Fanny Moulin // Yokwé Films pour le CNRS // 2017
Le cycle sismique est classiquement présenté comme une alternance entre une phase inter-sismique, au cours de laquelle les contraintes tectoniques sur les failles augmentent, suivie d’une brève phase co-sismique, dans laquelle un séisme important relâche ces contraintes accumulées.
Ces dernières années, des études paléosismologiques ont au contraire mis en évidence sur plusieurs failles, de très longues phases inter-sismiques dont le relâchement conduit à l’occurrence d’événements sismiques multiples, ce qui a fait émerger la notion de « supercycle ».
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